Enfin, Anthea Pichanick possède une voix riche en nuances, au timbre chaud et envoûtant ; le contralto français a magistralement alterné les rôles d’Eustazio (« Siam prossimi al porto ») et du Magicien.
Cult.news 2024
Anthea Pichanick en Eustazio et Mago Cristiano contrôle la continuité de son souffle lyrique au timbre velouté. Sa douceur se fait captivante mais elle brille aussi vers les aigus.
Olyrix 2024
Anthea Pichanick réussit un Eustazio de haute volée. Elle a un timbre particulièrement rond et enveloppant de contralto dont elle joue à merveille dans un rôle qui réussit à capter l’attention de la salle.
Operaphile 2024
Stabat Mater, Auditorium de Lyon – Novembre 2021
« Et que dire d’Anthea Pichanick, vraie contralto bien connue sur la place lyonnaise, elle aussi ? Son timbre si riche s’est encore approfondi ces dernières années, la tessiture s’est complètement lissée pour produire à n’importe quelle hauteur cette onctuosité remarquable qui la distingue. Sa technicité infaillible lui permet d’assurer en même temps une stabilité des graves intenses en harmoniques que des montées véloces et irréprochables. En l’écoutant aujourd’hui dans ce répertoire, on a l’impression d’avoir affaire à une Cecilia Bartoli au timbre plus grave. C’est une très grande voix, dont la maturité est décidément éclose »
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Beate Langenbruch
BachTrack
Rigoletto, Opéra de Montpellier – Octobre 2021
« Le velours d’Anthea Pichanick est un grand luxe pour l’épisodique Comtesse Ceprano, une des plus somptueuses entendues.. »
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Jean-Luc Clairet
ResMusica
Rigoletto, Opéra de Montpellier – Octobre 2021
« Anthea Pichanick est une Comtesse Ceprano de luxe, sa voix large et charnue au timbre velouté expliquant l’attrait qu’elle exerce sur le Duc. »
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Damien Dutilleul
Olyrix
Il ritorno di Ulisse in patria – Monteverdi, Festival international d’opéra de Beaune – Juillet 2021
« Pénélope, prisonnière de son attente résignée, puis incrédule avant de reconnaître Ulysse, est Anthea Pichanick. La voix est souple, douce et ample, teintée d’une mélancolie juste. Son lamento initial (avec l’arioso « Torna il tranquillo al mare »), est poignant. La richesse psychologique du personnage est admirablement servie.»
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Yvan Beuvard
Forum Opéra
Il ritorno di Ulisse in patria – Monteverdi, Festival international d’opéra de Beaune – Juillet 2021
« Anthea Pichanick est bouleversante de bout en bout, jusqu’au duo final où, enfin, elle abandonne le récit expressif et toujours tendu, pour un chant mélodique enfin libéré, exprimant toute la joie des retrouvailles tant espérées. Mais le monologue initial définit déjà le personnage. Rarement on a entendu une telle appropriation du texte, une telle parfaite coïncidence et cohérence entre le texte et la musique, celle-ci étant au service de celle-là : et dans cet équilibre paradoxalement hiérarchisé, la magie opère et les poils se hérissent : on est ému, au sens étymologique (« ex movere » = mettre littéralement en mouvement les passions). Du très, très grand art. »
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Jean-François Lattarico
Classique News
Il martirio di San Filipo Neri – Scarlatti, Festival de la Chaise-Dieu – Août 2021
“Anthea Pichanick dans le rôle de l’Espérance déploie son contralto avec une assurance et une maîtrise souveraines. Le son est rond et peu sombre, avec des graves bien appuyés et charnus. Son italien est clair et sonore, tandis que la projection s’avère bien dosée et en symbiose constante avec l’ensemble instrumental.”
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Vojin Jaglicic
Olyrix
Il martirio di San Filipo Neri – Scarlatti, Festival de la Chaise-Dieu – Août 2021
“Anthea Pichanick incarne complètement son personnage, l’Espérance, parfois directive, parfois accompagnante : « Entends avec quels cris, les malades évanouis cherchent ton appui ». La voix de la contralto sait être puissante, son timbre passe parfaitement et son articulation est telle que les paroles en italien sont tout à fait compréhensibles malgré la dimension de l’abbatiale.”
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Jean-Noël Démard
ResMusica
Il martirio di San Filipo Neri – Scarlatti, Festival de la Chaise-Dieu – Août 2021
“L’Espérance d’Anthea Pichanick, qui faisait déjà partie de la distribution de Teodosia, redonnerait courage à n’importe qui par ses inflexions élégantes et sa voix ronde et chaleureuse. Son ornementation dans les da capo, discrète, est toujours au service du texte ”
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Anne Rouhette
Forum Opéra
« Un aéropage de jeunes voix, comme la magnifique Anthea Pichanick. En Asteria, second rôle gratifié de quatre airs splendides, la mezzo française développe une onctuosité rare. »
Opéra Magazine
« Récente lauréate du Concours Cesti d’Innsbruck, Anthéa Pichanick allie un timbre généreux, parfaitement posé, à une diction admirable. »
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Jean-François Lattarico
Diapason
« La voix est splendide, articulée, agile, virtuose dans ses traits, projetée à souhait. »
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Yvan Beuvard
Forum Opéra
« Dans son costume évoquant les acteurs comiques du cinéma muet, la pétulante Anthea Pichanick, Ménandre à la fibre comique époustouflante dont le charisme irradie. »
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Emmanuelle Giuliani
La Croix
« Ce premier CD en récital place d’emblée Anthea Pichanick parmi les meilleurs contraltos de notre époque ; […] elle n’est qu’au début d’une carrière qui est déjà au-delà de la promesse. C’est la confirmation éclatante d’un indiscutable talent. »
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